ÊTRE HUMANISTE

Je suis un  homme, et rien de ce qui est humain, je crois, ne m’est étranger (Térence)

Les hommes que la raison gouverne ne désirent rien pour eux-mêmes qu’ils ne désirent également pour tous les autres, écrivait Spinoza il y a trois siècles.

Placer la personne humaine au-dessus des autres valeurs, tel est le fondement de l’humanisme.

Notre rassemblement pour les élections municipales sera adepte de cet engagement.
La connaissance ne suffit pas toujours à apporter le progrès. Elle doit être supportée par une éthique.
Ce qui EST déjà devra être complété par ce qui DEVRAIT ETRE. Cette maxime sera notre fil conducteur.

Maximiser l’épanouissement humain est le but de l’humanisme : la vie, la santé, la liberté, la connaissance, l’amour, l’expérience.
L’éthique humaniste ne s’appuie pas sur des fondations surnaturelles : les dogmes doivent être évités. Il faut croire à ce qui vous fait grandir.
Les principes fondamentaux ont permis de fonder la morale sur l’impartialité. Ils nous font prendre conscience que les mots « nous » et « je » ne justifient pas de privilégier nos intérêts par rapport à ceux des autres.

Ces principes sont résumés par la règle d’or de l’humanisme :
         Traite les autres comme tu voudrais être traité ;

Et par sa règle d’argent :
          Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse.

Nous nous appuierons sur ces règles morales

Dr Philippe LEFEVRE

 

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