LE VRAI DU FAUX OU L’ART DE FAIRE CROIRE QUE CE QUI EST VRAI EST FAUX

Une hausse de 8,3% des taux d’impôts locaux

Dans sa récente publication dénommée « Fake News » le maire sortant réfute une réalité pourtant manifeste :
la progression de 8, 3 % par an des taux des impôts locaux décidée à sa demande â compter de l’exercice budgétaire 2015.
Et pourtant, selon une célèbre formule, les faits sont têtus : la demande tendant à la hausse précitée est le fait de cet élu , comme en établit l’arrêté préfectoral portant règlement d’office du budget primitif 2015 de la commune de Bandol, ci-joint. Au sixième visa de cet arrêté figure bien la demande explicite d’augmentation formulée par le maire sortant au préfet du Var. Et cette hausse est bien sûr répercutée d’année en année. Certes, il peut toujours être objecté que cette hausse avait été entérinée par le représentant de l’Etat, mais, à tout le moins, il s’agissait d’une « coproduction maire/préfet ».

 

D’autres données confirment cette hausse de la pression fiscale

Le produit des impôts locaux qui s’établissait à 8, 91 millions d’euros en 2013 était de 10, 75 millions d’euros en 2018, soit une hausse de + 20,7 %. 
En euros par habitant, la donnée est de 1 093 € en 2013 pour atteindre 1 302 € en 2018, soit une hausse de +19 %.

En 2018 le produit des impôts locaux à Bandol, rapporté en euros par habitant de 1302 €, comme il a été dit, doit être comparé à la moyenne du produit des impôts locaux de la strate des communes comparables à Bandol, qui s’établissait à 488 €.

L’équipe de Bandol Ambitions présente ses regrets à la municipalité sortante d’avoir écorné ainsi le mythe de sa modération fiscale.

 

 

STOP AUX FAUSSES ALLEGATIONS

Le maire sortant  de Bandol allègue des irrégularités à l’encontre de ses opposants,  mais ne les établit pas

Marc Bayle réfute nettement, en droit et en fait, certaines allégations du maire sortant  relatives à des soit-disantes occupations irrégulières du domaine public, voire à des appositions d’affiches électorales, qui, en fait ont été effectuées  seulement sur des panneaux d’expression libre (voir ci-jointes la lettre reçue de M. Joseph et la réponse de Marc Bayle).

L’exercice du mandat de maire nécessite toujours une certaine retenue dans ses expressions, à défaut d’une courtoisie républicaine.

Réponse adressée à Monsieur Jean-Paul JOSEPH
Maire de Bandol
Cabinet
Hôtel de ville
83150 Bandol

Bandol, le 17 février 2020

Marc BAYLE
Bandol Ambitions
19, rue du docteur Marçon
83150 Bandol

Lettre recommandée avec AR

Monsieur le Maire,

J’accuse réception de votre lettre du 11 février dernier dans laquelle vous alléguez des « illégalités » qui auraient été occasionnées par les rencontres que j’ai organisées dans ma permanence le 7 décembre 2019 et les 11 et 26 janvier dernier au motif d’une prétendue occupation irrégulière du domaine public.

Ces rencontres se sont tenues dans ma permanence, sise dans les locaux du restaurant Mantra que je loue. Le public s’est rassemblé sur la terrasse de de ce local, qui est assujettie au versement d’une redevance pour occupation du domaine public par le propriétaire des lieux. Dès lors, le paiement d’une double redevance ne saurait être admissible. J’ajoute que la libre circulation des véhicules dans la rue du docteur Marçon n’avait pas été altérée par les dites rencontres.

L’allégation précitée s’avère donc sans fondement.

Par ailleurs, vous faites état de la pose par mes équipes d’affiches de de campagne, alors que la période d’affichage électoral ne s’ouvre qu’à partir du lundi 2 mars prochain.
Je vous précise toutefois que l’apposition de ces affiches a été effectuée par mes soutiens sur les seuls panneaux d’expression libre. A cette occasion, je vous informe que la loi n° 2011-412 du 14 avril 2011 portant simplification de dispositions du code électoral et relative à la transparence financière de la vie politique a autorisé le collage des affiches électorales sur les « panneaux d’affichage d’expression libre lorsqu’il en existe ». Vous pouvez, à cet égard, vous reporter avantageusement au dernier alinéa de l’article L.51 du code électoral.

Votre seconde allégation est donc sans fondement. Conséquemment, je ne puis que vous conseiller une certaine retenue dans vos expressions, avant d’imputer à tel ou tel une supposée illégalité.

Au passage, j’ai noté la réduction drastique du nombre de panneaux d’expression libre à Bandol par rapport aux mandatures précédentes, révélatrice, sans doute, du souci de votre municipalité de restreindre l’exercice de la libre expression dans la cité.

Je profite également de l’occasion pour vous faire part de mon étonnement sur le bien-fondé du cadre administratif que vous avez fixé, dans votre décision n° 37 du 31 décembre dernier, aux demandes de réservation de locaux communaux par les candidats à la prochaine élection municipale. L’article 3 de ce texte subordonne les réservations à la production par le candidat du récépissé d’enregistrement de sa candidature par la préfecture et  limite une seule réservation de salle pour chaque candidat à chaque tour de l’élection.

Sans préjudice de l’appréciation de la licéité de telles dispositions, celles-ci entravent manifestement le libre exercice de la campagne électorale. En contrepoint, et dans un souci de libéralisme politique et de respect du pluralisme républicain, nombre de chefs d’exécutifs communaux accordent la mise à disposition de salles municipales aux candidats et aux représentants de formations politiques, sans imposer de telles conditions restrictives Il est regrettable que la municipalité de Bandol se démarque ainsi d’une tradition républicaine bien établie.

J’ai tenu à vous faire part de ces observations.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, les assurances de ma considération distinguée.

Marc BAYLE
Préfet (er)
Avocat

AU BAL DES PROMESSES NON TENUES : L’EXEMPLE DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS

Lors de la campagne municipale de 2014, l’équipe électorale de l’actuel maire s’était engagé sur un projet alléchant en faveur de la jeunesse bandolaise, décliné en 13 points. Et il était vrai que les adolescents et les jeunes adultes nourrissaient alors une attente très forte en matière de loisirs, de sport et d’animation.

Quels étaient les points de ce projet ? Où en est-on de sa réalisation ?

1er engagement : une bourse au permis de conduire

La mesure était fondée mais l’engagement n’a pas été tenu, sauf à réapparaître aujourd’hui dans le futur programme du maire sortant ;
d’ailleurs le BAFA n’avait jamais été évoqué par le candidat !

2ème engagement : créer un espace dédié à la jeunesse

Aucune réalisation à notre connaissance, si ce n’est la fermeture de l’espace « jeune » situé à l’aire de carénage ;

3ème engagement : créer une section jeunesse au comité des fêtes.

Alors que nos jeunes auraient pu avoir voix au chapitre en matière d’animation le comité des fêtes ne les a jamais consultés ; de plus un coup de rabot budgétaire a été porté aux séjours proposés aux adolescents ;

4ème engagement : création d’une maison des jeunes pour les 18/ 25 ans

Un projet mort-né en fait !

5ème engagement : proposer tout au long de l’année des animations répondant aux attentes des jeunes (avant boite et boite éphémère)

Idem, une projet mort-né ! 

6ème engagement : renforcer le lien avec les associations sportives

Quid de la mesure destinée à permettre aux jeunes de s’investir dans les associations sportives ? 

7ème engagement : rénover et améliorer les infrastructures sportives

Certes, le revêtement de sol du gymnase municipal a été rénové mais pas à l’initiative du maire sortant puisque les travaux avaient été budgétés par son prédécesseur, il ne peut donc pas s’en attribuer les louanges. Quant aux rénovations allégués des infrastructures sportives, il serait plus judicieux d’employer le terme d’entretien de locaux, réalisés pour la plupart fin 2019 ; 

8ème engagement : corriger les dysfonctionnements des rythmes scolaires

2015 fut l’année de la remise en cause des rythmes scolaires avec un retour à la semaine de 4 jours d’école alors qu’il avait été très compliqué pour les familles de s’organiser sur les 5 jours ; La municipalité s’était engagée à proposer aux familles des activités (aides aux devoirs, activité en partenariat avec des associations …) Peu a été fait ! Conséquemment, le centre aéré est comble et le carré jeune doit accueillir les CM2. La plupart du temps les familles n’ont aucun moyen de garde pendant les vacances par manque de place au centre aéré. 

9ème engagement : favoriser les échanges avec les parents d’élève

Cet échange fut bref car le sujet des rythmes scolaire a entrainé une véritable fracture avec les parents d’élèves et les enseignants, faute de les avoir écoutés ; 

10ème engagement : inscription et paiement en ligne pour la cantine et le périscolaire.

Ce dispositif a été mis en place très tardivement ; 

11ème engagement : mise en place d’un guichet unique d’information en matière d’emploi

Mais le bureau de l’emploi avait déjà été mis en place par la municipalité précédente ; 

12ème engagement : recherche de sponsors et de partenaires pour créer des projets éducatifs

Le rêve a passé ! 

13ème engagement : élargir les plages d’accès aux installations le week end

A ce jour, les enfants n’ont toujours pas accès aux installations le week-end ; 

Bilan : En six ans, seule une promesse de campagne sur treize a été honorée.
Arrêtons les vaines promesses, notre jeunesse a besoin d’être impliquée dans la vie de notre commune.
Pour vivre mieux ensemble il faut concevoir des projets qui soient à la portée de tous.

Notre équipe, composée de parents, connait très bien les attentes de ces jeunes et nous sommes en capacité de leur proposer un véritable projet coconstruit avec eux et pour eux qui relancera l’attractivité de notre ville. Un projet précis a été présenté en matière sportive , un autre le sera bientôt dans le domaine de l’animation.

Carine Pinet

 

Ensemble, imaginons le Bandol de demain

Avec vous, nous voulons lancer une grande démarche coopérative, pour que chacun puisse faire entendre sa voix. Ici, vous pourrez co-construire le projet municipal que nous porterons aux prochaines élections municipales.
Donnez-votre avis sur ce sujet, nous en tiendrons compte. 

POUR UN PORT DE BANDOL SÛR, EQUITABLE ET COMPETITIF

Le port de Bandol doit redevenir l’abri sûr qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être

Pilier de l’attractivité économique de Bandol, de son image, de son identité depuis trois siècles, le port de Bandol est et restera un port municipal par essence. Mais nous ferons en sorte qu’il redevienne l’abri sûr qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être pour ses marins.

Les plaisanciers et les professionnels du port sont, pour nous, les bénéficiaires d’un service public et non pas les otages de ceux qui se défaussent derrière une interprétation rigide de la réglementation. Les plaisanciers et les professionnels font partie de l’identité de Bandol. Et il faut cesser de leur imposer des normes tatillonnes.

Plaisanciers et professionnels doivent redevenir les partenaires, les alliés, les acteurs d’une redynamisation concertée de ce fleuron du patrimoine des Bandolais.

Regagner leur confiance, apaiser les relations, ramener l’indispensable sérénité au bien vivre et à la bonne marche des affaires, sont pour nous la colonne vertébrale de nos engagements, de notre mission et de nos actions. Contrairement à ce que l’on veut vous faire croire depuis six ans, il n’est rien d’incompatible avec les lois qui s’imposent à Bandol, comme ailleurs.

Marc Bayle et l’équipe de Bandol Ambitions engageront, si les Bandolais leur accordent leur confiance, un nouveau dialogue avec le monde du nautisme.

Considérer les acteurs du port, c’est déjà les comprendre.

Ils sont d’ailleurs représentés au sein de l’équipe municipale de Bandol Ambitions qui se présente aux suffrages des électeurs bandolais.
Considérer les plaisanciers et les professionnels, c’est d’abord rétablir les services qui leurs sont dus, en particulier sur :

    • le rétablissement d’une distribution correcte du carburant indispensable aux activités de chacun ;
    • la réfection ultra prioritaire des pannes ;
    • la maintenance des équipements d’amarrage ;
    • l’application des normes environnementales pour la sécurisation de nos plages ;
    • le dragage des fonds ;
    • la création d’équipements sanitaires propres.

    Nous voulons construire, en toute sincérité, un programme ambitieux en faveur du port de Bandol !

    Considérer les plaisanciers et les professionnels, c’est comprendre que le Port de Bandol n’est ni un port à sec, ni un parking d’automobiles, ni une zone de stockage de containers, et qu’il ne peut, ni ne doit être géré comme tels.

    Car c’est aussi un quartier à part entière de Bandol, où l’on vit, travaille, où les habitants forment une communauté vivante, celle des gens de mer, ouverte, accueillante, solidaire. 

    Certes, de nombreux abus ont conduit le législateur à encadrer l’attribution de places dans les ports de plaisances (AOT annuelles pour les plaisanciers ; AOT quinquennales pour les professionnels). Pour autant, aucune loi n’est malveillante. Ce sont le plus souvent son interprétation et la rigidité de son application qui le sont : plaisanciers et professionnels du port de Bandol en vivent la douloureuse et dramatique expérience depuis quelque temps. 

    S’ensuivent les drames humains, les faillites économiques, que personne ne méritait de vivre à Bandol.
    Contraindre une veuve et ses enfants (comme il nous en a été témoigné) à détruire le bateau familial, au motif qu’il a été décidé par l’actuelle municipalité, que dans les 24 mois après le décès du père le bateau doit avoir quitté le port, marque une certaine inhumanité. Certes, la réglementation proscrit la transmission automatique des AOT aux ayants droits. Il est constant, toutefois, que les commissions d’attribution se livrent à une examen particulier de chaque dossier, comme il en est pratiqué dans nombre des ports environnants. 

    Il en va de même de la procédure maladroite en juillet 2019 de l’application de l’ordonnance du 19 avril 2017 relative à la propriété des personnes publiques diligentée par la SOGEBA qui a jeté la consternation au sein du monde du nautisme. Au passage, il a fallu deux ans à l’exécutif de la SOGEBA pour lire et tirer les conséquences de cette ordonnance. Longueurs administratives, portes ouvertes ! Sans compter les dégâts économiques causés à certaines entreprises nautiques. 

    Bandol fait partie des premiers ports de plaisance de la Méditerranée, mais figure toujours parmi les derniers dans les classements de l’accueil et du respect de l’environnement : la mission touristique des services de la capitainerie du port de Bandol doit être repensée.

    Oui, tel est un projet ambitieux pour le port de Bandol, loin des chimères et d’une bétonisation pharaonique. Un projet ambitieux pour le port de Bandol, c’est reconsidérer et respecter tous ceux qui le font vivre et le composent.

    Philippe Leclercq
    Bandol Ambitions

     

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LES LOIS SONT-ELLES FAITES POUR LES AUTRES A BANDOL ?

Les lois sont faites pour les autres : tel pourrait être le slogan de campagne du maire sortant macroniste.

La loi pour le commun des mortels, c’est l’interdiction de toute promotion publicitaire du bilan de la gestion municipale depuis le 1er septembre dernier (cf. l’article L.52-1 du code électoral).

Mais la loi du maire sortant LREM, c’est l’utilisation de la gazette municipale pour promouvoir son bilan et d’un discours de vœux pour vanter ses réalisations, comme il le confessa lui -même dans le Var-Matin du 20 janvier dernier : « mon bilan a été présenté lors de mes vœux ».

La loi du maire sortant macroniste, c’est aussi de nourrir sa propagande électorale, notamment sur les réseaux sociaux, avec des outils commandés aux services de la mairie et financés sur argent public.

Rigueur pour les autres, souplesse pour soi : encore une manière d’isoler Bandol !

Si la loi ne semble pas embarrasser le maire sortant LREM, les Bandolais ne s’y tromperont pas.

Il est encore temps pour le maire sortant macroniste, dans un souci de loyauté et de transparence républicaine, de retirer, sans délai, de tous ses supports de communication personnels, l’ensemble des photos, vidéos, plans, etc, réalisés sur les moyens municipaux, donc sur l’argent des Bandolais.

Il est encore temps de prendre une bonne résolution : cesser de parler à tout bout de champ de « campagne placée sous l’égide de l’éthique », quand sa propre éthique est en toc.  

 Car l’éthique, comme dans d’autres domaines, ce sont souvent ceux qui en parlent le plus qui en font le moins.

 

Philippe Leclercq
Directeur de la campagne de Bandol Ambitions 

 

Me Gérard Mino
Avocat

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UNE NOUVELLE AMBITION POUR LE SPORT A BANDOL

Le sport à Bandol

Albert Camus, le confessait en 1959 : « Et vraiment, le peu de morale que je sais, je l’ai appris sur les scènes de théâtre et dans les stades de football, qui resteront mes vraies universités. »

En effet, le sport est plus qu’un loisir ou un outil de bien-être, il fédère et transmet des valeurs.
La liste Bandol Ambitions, conduite par Marc Bayle, souhaite ainsi élaborer un véritable projet sportif pour la ville, qui en manque cruellement.

Marc de Rougemont, ancien joueur de l’équipe de France de rugby, Carine Pinet fonctionnaire territorial et Me Gérard Mino, administrateur du RCT, ont dessiné les grandes lignes du projet sportif de Bandol Ambitions.
Un projet qui se concentrera sur trois priorités : la santé, l’éducation, le loisir organisés avec un office sportif municipal.

1.Le sport santé :

      • Pour les personnes en situation de handicap, les seniors et les personnes atteintes de diabète ou d’obésité : un centre de loisir adulte municipal proposera des activités physiques du lundi au vendredi, telles que la remise en forme « gym tonique », la randonnée ou la marche aquatique. Ces activités seront encadrées par des intervenants diplômés ou en partenariat avec les associations bandolaises
      • Pour tous : une priorité, la remise en état du gymnase municipal. Allons encore plus loin avec les recommandations de l’OMS, en créant des « Maisons sport santé » qui offriront l’opportunité de pratiquer une activité physique et sportive plus fréquente.
      • Elle permettra également dans le cadre du bien-être au travail d’exercer une activité physique pour les agents territoriaux.
      • Nous le ferons en bonne entente avec la communauté d’agglomération, donc en rompant avec l’isolement actuel de Bandol.

2. Le sport éducatif :

      • Pour nos enfants, dans les écoles maternelles et primaires, au centre aéré et à la halte-garderie (en grande section) des initiations au sport afin de leur permettre de découvrir toutes les activités proposées sur la commune.

Comment ? Bandol Ambitions propose de recruter plusieurs éducateurs sportifs, et de s’appuyer sur les intervenants sportifs diplômés et les associations sportives de Bandol qui encadrent avec talent nos sportifs en herbe ou confirmés.

3. Le sport loisirs :

      • Une ambition sur six ans : créer une école de rugby avec la collaboration de la ligue Sud PACA de rugby ;
      • Un partenariat sera noué avec le mouvement sportif bandolais, démuni ces dernières années face aux difficultés financières rencontrées.

4- Pour un nouvel élan du sport à Bandol :

Force est de constater les difficultés rencontrées, depuis quelques années, par nos associations sportives face à la baisse des subventions municipales, à la vétusté des équipements sportifs et à la faible place laissée à l’organisation des cycles sportifs.

Alors que 2019 fut une année de réussite éclatante pour nombre de clubs tant sur le plan national qu’international, la municipalité sortante n’a pas mené une politique de développement du sport digne de ce nom.

Il est piquant de constater que ladite municipalité prône la réalisation d’une seconde piscine intercommunale alors qu’elle n’a pas donné les moyens aux Bandolais de pouvoir fréquenter celle de Sanary.

La priorité sera d’aménager et d’entretenir nos installations sportives avant d’envisager un projet pharaonique sur le stade pour y enfouir en sous-sol un parking de plusieurs niveaux. Bandol Ambitions s’engage ainsi à mettre en place une politique sportive pour tous, tout au long de l’année y compris pour les touristes

Gerard Mino, Carine Pinet, Marc de Rougemont

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POUR UNE STRATEGIE CONTRE LE PLASTIQUE A BANDOL

Bandol stratégie contre le plastique

la révolution de notre quotidien est amorcée

En vertu des dispositions de la loi sur la transition énergétique et la croissance verte du 17 août 2015, s’agissant de la production des entreprises, les sacs en plastique jetables sont interdits depuis 2017.
En vertu du même texte, l’interdiction du plastique s’étend depuis le 1er janvier 2020 à de nouveaux produits plastiques dits « à usage unique » :
• la vaisselle jetable en plastique : gobelets, verres et assiettes jetables ;
• les bouteilles d’eau en plastique dans les cantines scolaires ;
• les touillettes et pailles en plastique dans la restauration, la vente à emporter, les cantines et les commerces alimentaires ;
• les cotons-tiges en plastique.
En 2021, seront concernés les contenants alimentaires en polystyrène expansé et les tiges en plastique pour ballon :

* Les 10 produits en plastique à usage unique les plus répandus sur les plages et les mers d’Europe, constituent, avec les engins de pêche abandonnés, 70 % de tous les déchets marins.
Le plastique est reconnu aujourd’hui comme un vrai fléau pour la flore et la faune sauvage, spécialement en bord de mer.

Autant dire que la révolution de notre quotidien est amorcée.
Dans la pratique, ces interdictions ne se feront pas du jour au lendemain et le plastique ne va pas disparaitre par magie.
Les 25 millions de tonnes de déchets en plastique produits chaque année mettront des dizaines d’années à disparaitre ; les stocks existants vont être écoulés. En revanche, la maitrise de notre addiction au plastique jetable devra être bien plus rapide. Et ce changement d’habitude se doit d’être accompagné par les collectivités territoriales et le monde économique local.

En tant que commune littorale, nous devons avoir à cœur d’inscrire Bandol dans cette stratégie volontaire contre le plastique. 

Bandol Ambitions souhaite s’inscrire dans une démarche qui tend à proscrire l’usage de tous les plastiques à usage unique de notre quotidien. Elle est, d’ailleurs, conforme au point n°60 du Plan Climat régional PACA et s’inscrit dans l’un des objectifs phares du Plan national Biodiversité.

A Bandol, nous nous hâterons de mettre en place des solutions progressives et alternatives à l’usage du plastique, selon les modalités suivantes : :

• Signature de la Charte nationale « Zéro déchet plastique » ;

• Par la suite, identification d’un plan d’action communal et désignation de référents au sein de la municipalité pour suivre la démarche ;
Sensibilisation contre l’usage des plastiques à usage unique ;
• Dispositif de consigne pour le recyclage ;
• Actions en faveur du commerce engagé et accompagnement opérationnel.
• Par ailleurs, compte tenu d’un mauvais vieillissement dans le temps, le plastique sera évité pour le mobilier urbain et tout usage sur le domaine public (port, clôture).
• Et bien sûr, nous nous engageons à ne pas promouvoir l’image de la ville sur des supports en plastique jetable, comme cela a pu l’être cet été avec la dispersion des moulins à vent dans toute la ville.

 

Les alternatives seront à chercher, avec tous les acteurs de la ville, avec la création d’une commission extra-municipale dédiée (commerçants, écoles, port, tourisme) pour réduire les déchets plastiques en mer et sur terre. Les solutions ainsi définies seront proposées à l’ensemble des acteurs économiques de la ville. 

Les initiatives associatives nous montrent le chemin. Un accompagnement institutionnel est toutefois incontournable pour la mise en œuvre pragmatique de ce qui s’annonce comme un défi important. 

Prises collectivement, nos actions, aussi petites soient-elles, auront des impacts. Nous pouvons faire en sorte, ensemble, que nos impacts soient positifs !

Ensemble, imaginons le Bandol de demain

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POUR LE BIEN-ETRE ANIMAL A BANDOL

bien être animal bandol

Bandol Ambitions s’attachera à mettre en place une politique active et attentive au sort de l’animal

Le docteur Frédérique Connat est engagée de longue date dans la cause animale.

Marc Bayle a exercé la police des animaux au travers de son activité préfectorale et a eu autorité, pendant quelques années, sur la direction des services vétérinaires de Paris au sein de la préfecture de police. Il est aujourd’hui administrateur de la Fondation Assistance aux animaux. Leur engagement pour le bien-être animal est intense.

Sous leur impulsion, l’équipe de Bandol Ambitions marque aujourd’hui son attachement au bien-être animal, cet être vivant doué de sensibilité, selon la définition qu’en donne, depuis 2015, le code civil. Cette définition est plus que symbolique, car elle marque l’obligation d’une conduite éthique dans notre société qui doit devenir respectueuse et responsable à l’égard de l’animal et de sa sensibilité, lui épargnant douleur, souffrance et angoisse.
S’occuper du bien-être animal participe du bien vivre dans la commune. Bandol Ambitions s’attachera subséquemment à mettre en place une politique active et attentive au sort de l’animal, qu’il soit domestique ou sauvage.

Nous retenons les dix orientations suivantes

  1. Nous engagerons un programme de stérilisation des chats errants, conformément aux dispositions du code rural, seule méthode efficace et éthique pour contrer la prolifération des félins errants et validée par l’Organisation mondiale de la santé. La même action de stérilisation et d’effarouchement sera conduite sur les pigeons pour éviter une surpopulation dans le centre-ville.

  2. Les services de restauration collective dépendant de la municipalité (écoles primaires, centres aérés, foyers municipaux) s’engageront dans un plan pluriannuel de diversification de protéines incluant des alternatives à base de protéines végétales dans les repas qu’ils proposent, à des fins notamment éthiques (repas sans œufs de poules maltraitées en batterie, sans viande issue d’abattoirs qui n’étourdissent pas systématiquement les animaux). Un repas végétarien ou végane sera proposé une fois par semaine, conformément à loi « Agriculture et Alimentation » du 30 octobre 2018, dite loi EGalim.

  3.  Nous proposerons aux conseils d’école des écoles primaires une action de sensibilisation à l’empathie animale.

  4. Nous proposerons dans les maisons de retraite et les foyers des anciens l’organisation d’actions de zoothérapie, méthode thérapeutique qui permet d’améliorer la santé physique ou mentale d’une personne en difficulté en utilisant l’animal comme médiateur.

  5. Nous soumettrons au conseil municipal un vœu tendant à l’interdiction des cirques et des spectacles comportant des animaux en captivité et en exploitation, comme l’ont adopté déjà 390 communes.

  6. Nous étudierons, en lien avec la communauté d’agglomération Sud-Sainte-Baume, la possibilité de mettre en place une fourrière pour les chiens perdus et un suivi par un vétérinaire.

  7. Nous mettrons en en place une journée sans chasse une fois par mois pour que toute la population puisse se promener sans risque.

  8. Nous susciterons un véritable partenariat entre la commune, les vétérinaires et les associations de défense pour les animaux pour des actions communes et cohérentes.

  9. Nous proposerons, en lien avec les associations volontaires, un système de garde pour les animaux dont les propriétaires doivent être hospitalisés ou qui doivent quitter leur domicile en urgence.

  10. Un élu municipal exercera une délégation « protection des animaux » et un fonctionnaire de la police municipale sera formé spécifiquement dans ce domaine.

Tous ensemble, unis par l’empathie et l’amour de nos amis les animaux, nous pouvons améliorer leur quotidien et le nôtre à Bandol.

Frédérique Connat                  Marc Bayle          

Ensemble, imaginons le Bandol de demain

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RENDRE SA NOBLESSE AU LITTORAL DE BANDOL

Littoral Bandolais

Le soin du bord de mer doit constituer un axe prioritaire pour une commune littorale, d’autant plus quand les hauteurs ne lui laissent pas d’autre perspective.
Le littoral de Bandol est un petit cordon de terre aux pieds de la colline d’à peine 6,27 km de long qui n’a guère été épargné. 

Un paysage en souffrance

Notre littoral est largement anthropisé (on dit d’un milieu anthropisé lorsqu’il s’éloigne de sa naturalité).

La vue du ciel de Bandol le montre bien et les chiffres plus encore : notre linéaire littoral (le trait de côte) est artificialisé à 46,71% ! Pour comparaison, il ne l’est que de 13,72% à Saint Cyr et de 14,73% à Sanary en proportion. Les conséquences sur le paysage et l’attractivité touristique de la ville sont considérables puisque la côte de Bandol affiche désormais une physionomie à peine moins bétonnée que celles de Toulon (68,72%) et de La Seyne (51,84%).

Littoral à Bandol

Et pour ce qui reste de « naturel », le départ du sentier du  littoral jusqu’à Saint Cyr est, en ce qui concerne la courte fraction bandolaise, soit  dégradé soit bitumé.

Maintenir un rempart paysager

Notre ville avait réussi à maintenir un fragile équilibre entre l’univers préservé des calanques et la coulée urbaine en conservant un paravent d’espaces naturels littoraux. Ce paravent est aujourd’hui affecté par la multiplication de nouveaux permis de construire ces dernières années dans la bande littorale des 100 mètres1. Le béton gagne du terrain et les arbres tombent, l’un après l’autre.

Bandol le long du littoral

Et pourtant notre littoral serait  facile à bichonner, accessible, peu étendu et naturellement plein de charme ! Les moyens pour cela existent mais demandent force et conviction de la part d’une municipalité.

Appelant une recomposition de la  gestion de notre littoral

Le littoral doit être pensé comme un jardin sur la mer, accueillant, fortifié… et non plus fragilisé par le béton. C’est ce que nous voulons pour demain.

Et oui, il faut un fort volontarisme administratif et politique pour engager une politique active de protection de notre littoral, rendue d’autant plus prégnante en raison de l’accélération prévisible de l’érosion du trait de côte.  Car une ville est d’autant plus attractive, notamment sur le plan économique, que ses habitants s’y sentent bien, que son patrimoine littoral est respecté et mis en valeur de manière qualitative.

Bandol Ambitions adopte, d’ores et déjà, les  quatre orientations suivantes à titre non exhaustif :

      • mise en place de programmes de végétalisation le long des voies d’accès au littoral ;
      • politique active de protection du sentier du littoral ;
      • prohibition de nouvelles constructions sur le front de mer ;
      • tout doit être mis en œuvre pour que Bandol obtienne le label « Port propre », avec, dans la même visée d’excellence environnementale, la réalisation d’une entreprise de dragage.

Une commission consultative sera mise en place, associant la municipalité aux différents groupements concernés par la gestion du littoral (SOGEBA, acteurs du nautisme, pêcheurs, plagistes, secteur de la plongée, associations), pour travailler à une stratégie de gestion de notre littoral.

1 L’article L. 121-16 du code de l’urbanisme dispose qu’en dehors des espaces urbanisés, les constructions ou installations sont interdites sur une bande littorale de cent mètres à compter de la limite haute du rivage ou des plus hautes eaux pour les plans d’eau intérieurs d’une superficie supérieure à 1 000 hectares. L’objectif est de préserver de l’urbanisation cette zone particulièrement sensible dans laquelle le principe de protection de l’environnement doit primer sur le principe d’aménagement.

Ensemble, imaginons le Bandol de demain

Avec vous, nous voulons lancer une grande démarche coopérative, pour que chacun puisse faire entendre sa voix. Ici, vous pourrez co-construire le projet municipal que nous porterons aux prochaines élections municipales.
Donnez-votre avis sur ce sujet, nous en tiendrons compte. 

MERCI ! MERCI D’ÊTRE VENUS SI NOMBREUX

Marc Bayle - Inauguration de la permanence de Bandol Ambitions

Une inauguration particulièrement réussie

C’est entre 150 et 200 personnes qui étaient présentes à l’inauguration de la permanence de campagne de Marc Bayle, dans les locaux de Bandol-Ambitions, rue du Dr Marçon.
Trop à l’étroit à l’intérieur, les Bandolais ont assisté dans la rue Marçon à l’allocution prononcée par Marc Bayle. 
A l’issue de l’allocution, c’est autour d’un sympathique buffet que se sont poursuivis les échanges entre Bandolais autour de Marc Bayle.

Extraits de l’intervention de  Marc Bayle

« Deux idées-forces guident ma démarche et celle de ceux qui m’entourent : le retour de la confiance et le goût de l’ambition !

1-Le retour de la confiance
 – Le  temps est venu  de mettre fin à la stratégie  politique de la division.  Nous voulons une commune moins divisée, plus unie. 
Bandol doit renouer avec la sérénité républicaine, une vie publique normale. Oui, nous  choisissons l’unité contre la division.
 – Concomitamment, Bandol doit se départir d’une gouvernance solitaire 
et retrouver sa confiance en elle, en son avenir. 
 – Bandol doit choisir la voie de l’ouverture, sortir de son isolement, qui n’est plus splendide, de sa posture victimaire, être un acteur loyal et actif  de  l’intercommunalité à laquelle elle appartient. Nous devons restaurer nos relations avec  les collectivités partenaires.


2-Le goût de l’ambition
Nous devons  remettre la ville sur la route de l’ambition.
Le Bandol de la décennie 2020 doit être repensé comme le fruit d’un vrai choix collectif à travers une démarche fondatrice de la démocratie d’aujourd’hui
 – Bandol doit retrouver le goût de décider ensemble. 
 – Bandol doit retrouver le goût de décider pour ses quartiers, pour tous ses quartiers ;
 – Bandol doit s’ouvrir, renouer avec ce qui fait ses forces, s’appuyant sur ses atouts : son site, la qualité et les performances  de ses habitants, leur fierté d’être Bandolais, sa sociabilité, son port, la réputation de ses vins. 
 – Nous voulons construire un projet de ville.
Et le construire, c’est d’abord se nourrir de ce qui constitue l’identité de la ville, sa dimension portuaire, la réputation de ses vins par exemple.
 – La dynamique  collective que nous  devons reconstruire  associera tous les Bandolais au service de priorités  claires : 
     . En matière d’aménagement de l’espace, d’urbanisme, par exemple, il faut sortir de la logique du coup par  coup. Nous sommes une ville à taille humaine  dont il faut respecter le passé et embellir le patrimoine ;
     . Pour le port la concertation avec les plaisanciers et les professionnels sera la règle avant toute prise de décision ;
     . Ce projet de ville embrassera toutes les problématiques de Bandol : l’avenir de son port, de ses quartiers, de tous ses quartiers, de ses mobilités, de son attractivité, de son tourisme, qui doit être durable, de ses animations, qui doivent être dynamisées, de sa sécurité, de ses politiques de solidarité, de sa politique de la jeunesse, de son action culturelle. 

 -Et ceci ne pourra se faire, en ces temps de défiance des citoyens à l’égard de la parole publique, qu’en renouant avec une vie publique apaisée, laissant la place au débat, au respect des oppositions  et en se mettant  à l’écoute des Bandolais. 

Vous pouvez compter sur ma détermination. Et je serai le maire qui vous écoute et apprend de vous.« 
Marc Bayle